Perpignan au tableau des communes où les taux d’imposition locaux sont les moins élevés !
Alors que depuis le début du mois d’avril j’ai entrepris une série de réunions publiques – la prochaine est programmée pour le jeudi 28 avril 2016, à 18h 30, dans la mairie du Quartier Est ; 1 rue des Calanques – consacrées à l’explication du budget de la Ville et aux actions qui en découlent (investissements et fonctionnement), le site Le Figaro.fr publie, ce mardi 26 avril 2016, un tableau sur la fiscalité locale à partir d’une liste des communes françaises peuplées de plus de 10 000 habitants : dans quelles communes les taux d’imposition locaux sont-ils les plus ou les moins élevés ? Où paye-t-on le plus, ou le moins ? Qu’il s’agisse de la taxe d’habitation ou de la taxe foncière sur les propriétés bâties, la rédaction du quotidien national a passé les grandes villes à la loupe et, selon elle, « les habitants de certaines communes s’acquitteront d’une addition particulièrement élevée », en publiant une carte interactive à l’appui de ces dires.
Je suis fier de constater – et avec moi l’équipe municipale qui m’entoure – que Perpignan fait partie des communes où la taxe d’habitation est parmi les moins élevées de France, avec un taux d’imposition de 18,73, alors que dans les autres grandes villes du Languedoc-Roussillon ce taux est de 19,53 à Béziers ; 21,06 à Alès ; 22,49 à Montpellier ; 28,74 à Sète ; 29,33 à Nîmes… Seules Carcassonne (avec 15,94) et Narbonne (11,33) font mieux que Perpignan.
Si l’on considère les grandes villes ancrées sur la façade méditerranéenne, Perpignan reste, dans ce créneau, la plus compétitive, puisque comparativement Arles affiche un taux d’imposition de la taxe d’habitation de 25,06 ; Cannes 27,88 ; Marseille 28,56 ; Nice 21,31…
Je saisis cette occasion pour rappeler que pour la 5ème année consécutive la fiscalité locale à Perpignan a connu 0% d’augmentation !