Pour quoi, pour qui, roule Mme RIPOULL ?
Après avoir été successivement proche de l’UMP, centriste avec le MoDEM, colistière d’une liste socialo-communiste en 2008, pseudo-indépendante en 2014… et prête à accepter l’investiture UMP pour les élections départementales de 2015, Mme RIPOULL m’accuse « de cogérer la ville avec M. ALIOT » et affirme, je la cite toujours, que « je fais partie de la droite extrême, que je n’ai pas la carte du FN mais que j’en partage les idées » (page 5 du journal L’Indépendant, daté du Jeudi 4 août 2016, rubrique « Politicorama »)…
Pour ce qui me concerne, je me suis présenté huit fois contre le FN, en restant dans mon camp : celui de la droite et du centre. C’est ce qui me rend libre et serein de proposer aujourd’hui encore la création de groupes au sein de la métropole afin que chaque courant politique puisse s’exprimer. « La démocratie se doit d’être une création continue », disait Georges Clemenceau.
Pour ce qui est de la culture et du social à Perpignan, une fois de plus je me vois dans l’obligation de rappeler à Mme RIPOULL que la Culture et le Social sont deux budgets en augmentation : l’ouverture du Musée Rigaud et l’exposition Picasso en cœur de ville annoncée pour 2017 seront les symboles du développement culturel de notre Cité.
Dans son rôle de girouette politique, Mme RIPOULL décrédibilise la vie publique locale. Saura-t-on enfin un jour pour quoi, pour qui roule-t-elle ? En attendant, sa fabrique de contre-vérités nuit dangereusement à l’image de Perpignan et de ses habitants.