MM. Bayrou et Lagarde nous ont habitué à la géométrie variable de leurs convictions
Il est vrai qu’ils nous ont habitué à la géométrie variable de leurs convictions, ce qui a permis, concernant par exemple M. Bayrou, l’arrivée de M. Hollande à l’Elysée et les cinq ans catastrophiques pour les Françaises et les Français que nous sommes en train de vivre. Au passage, bien sûr, M. Bayrou s’attaque à M. Macron, après lui avoir fait des risettes, se rangeant au pluriel derrière un candidat dont il pense qu’il va gagner la primaire à droite…
Il est vrai, comme disait feu Edgar Faure (plusieurs fois ministre sous la Vème République) : « Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent qui change de direction »… En ce qui les concerne, c’est plutôt la tempête de leurs ambitions et le calme plat de leurs convictions.